Sunday, October 16, 2005

Bon dimanche!

Aujourd'hui est dimanche. Le vent souffle avec tout sorte d'air vers des horizons diverses. L'amour, l'espoir, la joie, le desespoir, la souffrance, la misere, et le bonheure visitent le coeur de gens indulgents a travers le monde; un monde en crise, mais où il est impossible de faire disparaitre l'energie.

-En faisant usage de ce dernier terme, je me refere a cette magie qui tient cette planete: a cette force que possedait nos leader (que ce soit en inde, en afrique, ou dans les antilles): a ce dieu qui habite tous les heros de ce globe.

Remarquons cependant que, parmi ceux que j'ai cité dans mon premier paragraphe, desespoir, souffrance, et misere ne viennent qu'obstruer le processus de vie meilleure: d'un monde meilleure. (en d'autres termes je dirais: "ameliorations de nos conditions de vie" comme dans "Intro"). Nous devons donc, pour commencer un nouveau mode, concentrer notre effort sur: ne pas etre miserable, combattre la souffrance, et garder l'espoir.

Toutefois, ne nous laissons pas secouer par le mouvement du temps; quand on avait pas le pouvoir de changer les choses, Gandhi nous enseignait: la tolerence. Cet homme honorable nous a devoilé:

-Si tu veux changer le monde, change toi toi-meme

... et dans un autre contexte lié au precedent, il disait:

-Notre recompense se trouve dans l'effort, pas dans la reussite, un effort total est une reussite

...

Mes cheres amis, le dimanche est consideré comme etant un commencement à une semaine. Et certains veulent croire que cette semaine a mal commencé; mais c'est encore une citation de Gandhi quand je dis:"Une erreur ne devient pas verite du seul fait que tout le monde y croit". Sur cette note, je vous dis cheres compatriote: gardez espoir!
Et a tous, je vous shouaite: Bon dimanche!

A bientot!

Babbas!!!

Friday, October 07, 2005

Haitiens Haitiennes, c'est nous qui faisons Haiti!

Souvent, on rencontre des gens qui ont une conception plutôt atroce d'Haïti. Pour eux, Haïti est une pure illustration de la pauvreté, du malheur, et du dégout. "Les Haïtiens n'ont pas de manières ni de honte" disent d'autres fils et filles de l'Afrique comme nous autres. Mais comment comprendre cela tandis que moins d'un demi-siècle n'est passé depuis que tout le contraire s'exprimait?

Avant, quand on parlait d'Haïtiens dans les pays étrangers, on parlait de noirs éduqués, de gens aimables, de gens qui avaient le sens du service, du partage, et de l'effort.
(Certes, hérités de notre passé; -peut-être de l'esclavage ou plutôt directement de l'esprit de l'Afrique-) toutefois, n'étaient-ce pas des qualités qu'on avait?

Que ce soit le médecin, la servante, le chauffeur de taxis, ou l'infirmière..., l'Haïtien était celui qui refusait de ne pas être à la hauteur de son boulot. Nous étions ceux qui avaient des valeurs morales, et qui avaient des rêves dont on ferait un effort surhumain pour les réaliser.

Aujourd'hui, le jeune Haïtien hors de chez lui se recherche autour de lui, mais ne se retrouve pas. On se recherche dans Wyclef Jean; on se recherche dans une petite zone défavorisée de Miami; on se recherche dans le KOMPA, et l'on n'arrive pas à se retrouver. Mais au faite, ce qu'on oublie, c'est que l'Haïtien qu'on recherche n'est pas autour de nous, mais plutôt en nous. Décrit dans les textes de Maurice Sixto et rêvé par Jean Dominique, l'Haïtien est dans l'Haïti que nous portons avec nous dans nos cœurs, et c'est à nous de l'exposer au monde.

Mes chers compatriotes, ne soyons pas ceux qui contribuent à salir l'image ne notre "lakou". Gardons la tête haute. Et si nous perdons des vies, au moins, ne perdons pas nos valeurs et nos qualités; ne perdons pas notre identité. "Lakay se Lakay, e lakou lot moun pap janm ka lakay".

Nous ne pouvons pas forcer l'autre voisin de nous aimer. Et ne nous imposons surtout pas aux autres par l'hostilité, car ca ne ferait que détruire notre image encore plus. Mais plutôt, aimons-nous les uns les autres sans faire d'exclusions, et nous pourrons enfin définir notre existence!

Mes chers ami(e)s, je veux m'adresser à vous, Haïtiens et Haïtiennes, qui êtes ou qui allez dans d'autres pays. Ne baissez jamais les bras car vous êtes Haïtiens. Ne soyez pas hostile car vous êtes Haïtiens. Soyez aimables car vous êtes Haïtiens. Portez vous bien car vous êtes Haïtiens. Rendez service, partagez, et ne cessez pas de faire des efforts constants pour s'améliorer, car vous êtes Haïtiens. Réfléchissez et sachez ce que vous voulez car vous êtes Haïtiens. Vous ne voulez pas être comme de pauvres errants qui subissent un système étranger, car vous n'êtes pas sans histoire, vous n'êtes pas des intrus dans le monde; vous faites parti d'une société, vous avez une place et un rôle à jouer: vous avez une identité: vous êtes Haïtiens.

Mes chers amis, le temps me fait défaut. Je ne veux pas vous épuiser les yeux car vous lisez; et en plus, j'ai du travail a faire, car je suis Haïtien!

A bientôt!

Babbas!!!

Tuesday, October 04, 2005

Intro

Nous vivons dans une epoque ou l'on ne dois plus laisser place a des betises de toutes sortes: que se soit: actions terroristes, mauvaise gestion d'un pouvoir, ou encore, manque d'implication de notre part dans l'amelioration de nos condition de vie dans ce monde: (dans notre pays!) Il faut que nous tous qui aimons Haiti -par example- agissons en sa faveur. Concretisons nos reves en commencant par les exprimer dans la realite. Martin Gray disait dans son livre "Vivre Debout" qu'une pensee ne vallait pas grand chose sans action, mais que meme parler ou ecrire est action.

En effet, parfois nous ignorons la difference que ca pourrait faire si seulement on disait quelque chose. Souvent, on evite de parler parce qu'on a peur; on a peur de ce que penseront les autres; on a peur des concequences dirrectes et indirrectes de nos mots. Mais, dans quelle epoque serions nous si l'on devait avoir peur de parler ou d'exprimer une opinion ou une envie? Quelle serrait alors la difference avec la dictature ecrasante??? -La croix gammee? Le baton? les chimeres???... je crains que non.

Nous nous sommes battu contre des dictateurs; je pense qu'il est temps de se battre contre la dictature. Liberons nous des limitations de craintes. Et sans rendre imparfais l'idee de liberte, faisons jaillir la beaute qui existe en elle!

L'homme est un etre social. Je dis donc que notre liberte se trouve dans la communication et dans le partage!

Nos heros nous ont procurer une liberte; Il est temps de rentrer en action pour en faire bon usage!

Mes ami(e)s, je veux vous communiquer et partager avec vous lecteurs: Ma Parole!

A bientot!

Babbas!!!