Wednesday, April 29, 2009

Art !!!

La musique chante, et les sons vibrent dans l'air embrouiller par l'oxygène qui nous permet de respirer et les déchets carbonique qui nous étouffent. Mais, la musique continue son parcours vers un monde contemporain, pour influencer des mouvements qui nous emmène a la danse.

Danser pied nus, monter sur la pointe, développer... des techniques de ballets et les incorporer dans un contexte traditionnel, émotionnel, ou parfois même spirituel. Un dynamisme très complexe, peut-être complet, évoque en nous une certaine inspiration qui nous fait parler poète, chanter musique, et danser... peignant des images parfois agréable a regarder.

Peinture, Photographie, Sculpture... nous permet de recréer l'homme, la femme; recréer ce monde que nous perturbons a chaque seconde.

Des idées s'étalent dans nos pensée. "-Touché, goûté, écouté, parlé-" nous permet de les exprimer. Mais l'expression sans la réflexion n'est que "ART".

"L'art est pour le loisir, la science est pour le développement. "

Toutefois, les deux portent en elle une essence naturelle accompagné par une technique physique qui passe par un chemin marécageux: le cerveau humain .

Fin de la poésie!

En dépit de tout, nous devons nous battre pour que nos inspiration artistique joue un rôle dans le "développement" de ce monde... autant que la science joue un son rôle a Disney-World.

A bientot !

Babbas!!!

Wednesday, October 25, 2006

This text is for you, and only you can understand it.

You are the child of God, and that does not change.
God is in you, but also all arround you.
But only he can take care of your soul! No body else! And this is the truth I tell you!
He put his children on earth to function with nature.
He sent his daughter on earth to inlarge the family.
He says come to me!
The map is on earth, because i sent it for you! It should be overthere, next to you.
Now open your eyes, give me all your love, and use what you see!!!

Babbas!!!

Monday, October 09, 2006

Tristesse/ la revolution continue

Il n'y a qu'une chose qui m'envahi lorsque je m'adresse a des etudiants Haitiens, a des universitaires... des enfants qui proclamme avoir un niveau intellectuel qui ne se compare pas a celui de mon peuple dite: analfa-BETE...
Il n'y a qu'une chose qui m'envahi, lorsque, suite a mes evocations qui precedent, j'ecoute des universitaires faire un debat autour d'un petit groupe: HAITIENS, a la maniere des rat-pa-kaka de Delmas... et devrais-je ajouter: de petion-ville...
Il y a une chose qui m'envahi lorsque je regarde mon pays aujourd'hui sans penser a demain...
Il y a une chose qui m'envahi: c'est la tristesse qui m'envahi!!!

A ce point, certain d'entre vous pensent retrouver en moi ce que vous sentez en vous; mais vous vous trompez si cette derniere phrase ne s'ajoute pas a votre histoire:

"Heureusement que, bien que le corp decompose, les mots restent, l'esprit reste, la parole d'un Jesus ne disparait pas. Il peut se perdre, mais quand il est retrouve, il peut toujours etre interpreter"

Mes chers amis, il est dit, et je vous le redis: vous pouvez emprisonnez l'homme, mais pas la liberte!!!

...et je continue mon histoire ici avec ma langue de poete engage pour dire: ...mais quand je pense a demain, l'espoir prend le dessus, et la vie continue!

A bientot!!!

Babbas!!!

Wednesday, September 13, 2006

revolisyon an poko fini non

Ca fait longtemps depuis que j'ai ecris un article sur ce blogue. Comme ca fait quelque temps depuis que mon pays merite ma parole.

"Ca fait longtemps que cela dure, et il n'y a pas de raison pour que cela cesse!!!"

Mes cheres ami(e)s, petit a petit je veux m'infiltrer dans vos tetes pour vous convertir en "ma parole". Comprennez bien que "ma parole" ici ne provient pas d'un certain individualisme. Quand je dis "ma parole", je fais reference aux discours d'un haitiens qui parle en faveur de son pays et de son peuple; je veux parler d'un discours qui provient d'un agronome engage, d'un musicien des temps enciens, d'un rapeur haitien engage, d'un petit pretre dans une eglise a port-au-prince aux temps de la dictature, d'un directeur et d'une dirrectrice d'une ecole qui grandi, d'un etudiant passionne...: engage!!! Ma parole, ces la portion des phrases qui connait la douleure et qui la converti en bonheure. Comprennez bien mes cheres amies, et ne laissez pas ma parole disparraitre parmi celle des autres qu'on retrouve parfois meme, dans un meme article, dans un meme pays, ou dans un meme gouvernement. Je finirai ce petit texte en disant mes cher(e)s ami(e)s: cherchez "ma parole" car elle est la, et meme si le corps peut devenir cendre, "ma parole" ne disparaitra jamais. Cherchez la par example, dans un film/documentaire titre: "The agronomist".

A bientot!!!

Babbas!!!

revolution an pa fini

"Bel koze ak bon koze": en effet, il s'agit de deux choses differentes. tres differentes. Mais je vous en pris, ne nous laissons pas tromper..... je continue.... ann pa pran bel koze pou bon koze.... mais je continue encore tout en mettant l'accenet sur:...... ann pa kite bel koze fe bon koze ki ladann nan disparet!

A bientot!!!

Babbas!!!

Tuesday, July 25, 2006

Revolution..."l'union fait la force"

Aujourd'hui mes chers ami(e)s, je veux relativement vous expliquer ma these sur pourquoi est-ce qu'il faut faire ce que j'appelle une forme de diplomatie, et pourquoi est-ce qu'il faut mettre notre orgueil dans nos poches un moment.

Nous sommes aujourd'hui le pays le plus pauvre des ameriques. Partout ou l'on va, nous sommes souvent mal recu. Et quand on demande aux gens de parler des Haitiens, ils nous disent qu'ils sont arrogants. D'autre nous disent qu'ils sentent mauvais...

De la foutaise??? bien surement. ou si non, peut-etre... peu importe...

Mais ce que j'aimerais vous dire aujourd'hui mes ami(e)s, c'est qu'IL FAUT DEUX POUR QUE L'UN CHANGE!

En effet, si l'autre n'existait pas, nous ne saurions surement pas nos defauts. Il faut qu'on ait pu voir le compartement de l'autre, ou celui du chien... ou sinon, leur reaction a notre comportement pour savoir: semble-t-il qu'il y a un probleme!

Nous devons etre l'ami d'autre pays pour savoir nos problemes et pour trouver de l'aide reel sans devoir mendier. Nous avons besoin de leur compassion, mais une compation amicale; car si on n'est pas leur ami, la compassion qu'ils aurront sera de la pitie, et de la pitie n'evoque pas de developement ni de progres.

Nous n'avons pas besoin du mange des gens, nous n'avons pas besoin de la charite des gens car la vie ne fait pas de cadeaux; ce serait donc nous empeche de vivre. Parcontre, nous avons besoin d'amis, car nous avons des problemes.

D'autre parts, ca sera tres difficile (surement pas impossible... ou peu etre...)... mais tres difficile d'entrer dans la course economique ou politique du reste du monde, car ca demande beaucoup d'efforts, d'energie, d'infrastructures, de securites, d'argent... qui ne sont pas pour nous evidents. Souvent, avant meme de savoir si c possible d'y arriver, on meurt par balle, on perd le courage, on se sauve... et ca arrete. Et pendant combien de temps est-ce que ca sera ainsi? longtemps? bientot?... qui sait.... je dis ESPOIR! car l'espoir fait vivre longtemps. Toutefois, je dis alternatifs.... car il ne faut surtout pas que notre source d'espoir se termine. Il faut donc differentes alternatifs: il faut donc travailler! C'est ce que je vous propose dans Revolution. Faisons nous des amis, et non des ennemies.

La question a se poser maintenant est celle a savoir: comment se faire des amis sans avoir a lecher les fesses; car les amis doivent partager quelque choses. En generale, si tu es pauvre, c difficile d'etre l'ami d'un riche, car c difficile d'aller dinner avec lui, et lui, il ne voudra surement pas dinner au coin de la rue. Toutefois, les gens on des amis de toutes sortes. Partenaire de football, partenaire de travail, partenaire economique... Il reste a savoir: que partageons nous avec d'autres pays, et avec quels pays. et je vous en pris.... ne choisissons pa les choses les plus mediocres comme la pauvrete!!! parcontre, nous pourrions prendre en consideration: l'histoire, les manieres, les interets... cependant, nous devons etre des leaders dans ce qu'on fait, comme nous l'avons ete dans l'histoire, et seulement la, notre fierte presente aurra un fond, et on cessera de chanter le passer; on pourra chanter et danser le futur dans une nouvelle ceremonie autre "bwa kayiman"!!!

Sunday, July 23, 2006

Revolution..."un role"

Mes chers amis, ce que je vous dirai aujourd'hui vous paraitra peut-etre absurde. Vous penserez peut-etre que je vous repete des choses que vous savez deja.

Toutefois mes chers amis, ce que je vous dirai aujourd'hui est-ce que nous avons tous besoin de savoir pour exister! Et j'insiste la dessus, car entant qu'Haitiens, le monde a tendance a nous faire disparaidre pour nous peindre seulement comme ils veulent nous voir. Mais encore une fois, je vous le dirai!!! :

NOUS AVONS UN ROLE A JOUER!!!

Apres l'avoir dit maintenant, je vous invite a en prendre connaissance et a commencer a agir comme des gens qui le savent. C'est a dire, cessez de dire que vous etes exclus de la caraibe, et faites parti de la caricom. Soyons Beaux. Partageons l'energie, la joie, le feu du carnaval, des musiques antillaises, du soleil, de la mer, de nos proverbes, ... de tout ce qu'on a de positifs, sans cesser de travailler sur ce qu'on a de negatif.

"Nous avons un role a jouer" veut dire: cessons de se pleindre, de mendier, et de promouvoir ce qu'on subi, et Comencons a "travailler sur ces choses qu'on subi!!!". Et quand c possible, travaillons avec tous ceux qui subissent la meme chose, car "noumenm ayisyen nou di: se fre nou ye!","se fre nou ye en Haiti. Se fre nou ye ak Matinik, se fre nou ye ak jamayik, ak trinidad, ak kiba... se fre nou ye ak lafrik... Notre devise, decrivant une portion de notre identite dit: "L'union fait la force!!!"

Ayibobo

A bientot!!!

Babbas!!!

Revolution

Aujourd'hui, je viens avec un discour frais; un discour qui se developpe dans ma tete au moment meme ou j'ecris; un discour dans lequel je met beaucoup de courage, beaucoup de volonte, beaucoup d'espoir, et beaucoup de foi.

Ce texte mes ami(e)s est le debut d'une serie de textes que j'intitulerai "Revolution". C'est le debut de mes actions envers mon pays. C'est le debut de mon travail pour Haiti.

Haiti: j'ai decide de reflechir pour toi. Je prendrai des innitiatives pour toi, et je developperai mes idee pour toi. Je veux me deployer pour toi, et je ne veux pas tenter: je veux le faire. Alors, je demenderai a ce que tu me gardes, a ce que tu fasse jaillir de ton sol toute l'energie necessaire a encadrer mes offrandes.

Que les "lwa" qui ont aide Toussaint Louverture a t'amener a l'independance contre les colons soient avec nous; qu'ils nous protegent, qu'ils protegent notre idee, qu'ils l'encadre afin qu'elle puisse jaillir de nos tetes, percer les mures et les barrieres qui separent les pensees -les reves- de la realites, et agir au milieu de nous d'une maniere charismatique: d'une maniere qu'on puisse voir, apprecier, et qui nous permet de rever beaucoup plus demain!!! Et cela, je le prononce au nom du seigneur Christ, au nom de l'esprit saint Christ, au nom du Dieu vivant!!!

Mes cher(e)s ami(e)s, "Revolution" sera l'expression d'une ideologie par une serie d'idees. Parfois courts, parfois longs, ces textes aurront tous un meme centre souvent silencieux: une meme ideologie. Comme Paul Ricoeur, je pense qu'une fonction de l'ideologie est de preserver l'identite. Et c'est sur ce dernier que se concentre ma campagne qui a commence avec Revolution!!!

A bientot!!!

Babbas!!!

Sunday, June 04, 2006

amicalement

Ces derniers temps, je n'ai pas vraiment prit le temps d'ecrire sur mon blog pour mes lecteurs. J'ai plutot passe mon temps a lire, a etudier, et a grandir dans mes relations avec les gens qui sont autour de moi. Ceci n'a fait, toutefois, qu'accentuer l'affection que j'eprouve envers ceux qui sont loin de moi. Et je profite pour vous dire, a ceux qui sont mes ami(e)s: "VOUS ME MANQUEZ VOU SAVEZ".

Mais ASSEZ!!!

En generale, je ne relis pas tres souvent les textes que j'ecris sur ce blog. Je prefere lire ce que d'autres gens ecrivent; et ceci, surtout ce que je peux trouver sur ma boite, si non, sur le journal, l'internet, ou meme dans un livre. :), mais il m'est arrive aujourd'hui de relire ce que j'ai ecris apres avoir recu quelque commentaires reconfortants; et ladedans, j'ai trouver l'ironie du jour. J'ai ecris: "ceux dont je fais USAGE" pour parler de mes ami(e)s proches. C'est vrai que j'ai utilise vos regards pour rester debout, votre affection pour grandir et votre amour pour sourire... mais c'est interressant de voir comme ceux a qui je faisait allusion ont tout de suite reconnue mon esprit dans les mots tels qu'ils etaient ecrits.

Parfois on fait des choses et l'on se demande si c'est la bonne, et ou est-ce que ca va ammener?
Aujourd'hui, sans citer les phrases que Sagesse nous a dit a travers des gens comme Gandhi ou Dalai Lama, ma parole pour vous c'est de vous dire ce que Dieu m'a permis de croire avec foi.
Dans cette vie que tu as, les consequences les plus serieuse d'un acte ne sont pas celles de l'acte en question, mais surtout celles de l'esprit qui se tenait debout derriere cet acte.

Mes ami(e)s, apres eux, apres vous, je le repete: faites le bien; et je ne parle pas de celui qui est ecris dans les livres; je parle de celui qui est grave dans la portion positive de votre ame. Et les consequences meriteront une satisfaction: un bonheur!

A bientot!

Babbas!!!

Sa k'ap fet?

Sa k'ap fet laa vye frè ak sèm yo? Kouman nou ye kouman nou ye?

Bo isit la, tout bagay poze, nou konnen. Menm lè bagay yo pa fasil, nou pap dako pou nou ap di "nou lèd nou la"; nou pap dako "gade san pran"; kifè, n'ap debat piti piti jan'n kapab! Nèg ap brase!

Gen anpil bagay ki ta vle fè nou dekouraje, men n'ap fouye tou patou pou nou jwenn ti kouraj.

Lè se pa nan peyi nou kouraj la soti, nou chache'l nan fanmi, ouswa nan zanmi... lè bagay yo rèd tout bon vre, nou chache travay di; nou chache nimpòt sa'n ka fè ya, nou fè'l, epitou, nou jwenn kouraj nan la fwa ke travay n'ap fè ya ap ban'n yon demen miyò.

Tout travay se travay! Nanpwen travay ki pa gen valè. Oumenm k'ap li saa laa? Sa wap fe? Sa w'ap regle nan lavi ou? Ou al lekol? Ou gen ti komès ou? Mande tèt ou kisa wap regle nan lavi ya? Paske, si se chita ou chita ap gade, san ou pap regle anyen, se oumenm wi ak parèy ou yo ki fè anyen pap regle nan peyi a. Eskize'm wi si'm manyen manb ou, men pa bliye, se ayisyen ki fè imaj Ayiti. Si pa erè, se nan kategori moun sa yo ou ye, se pa trò ta pou ou chanje bò. Ou gendwa paka chanje peyi ya poukont ou, men ou pa vle nonplis fè pati de moun kap kraze'l yo nonplis. Si se Ayisyen ou ye, ou fè pati Ayiti; Ayiti bezwen'w! Voryen ou pa, peyi ya ap pran sa'w ba'l, donk pa bali yon move machandiz. Pran desizyon pou'w bay tèt ou valè. Konsa, poutèt ayisyen konkou ou, peyi ya ap merite kanpe.

Ayibobo pou moun sa yo ki ka chanje sa yo gen lakay yo ki pa bon! Ayibobo pou nou! E wi, se Ayisyen nou ye!!!

A bientot!

Babbas!!!

Friday, March 31, 2006

ma parole

Dans ce monde, il y a toujours des choses a apprendre, et chaque particule, chaque insecte, chaque personne a quelque chose de positive a contribuer.
Dans ma vie, certains m'en ont apporter plus que d'autres. Cela restera ma parole!

Certains d'entre vous verront ceci comme etant une opinion qu'on peut acceptr ou rejeter; mais d'autres qui ont vecu pres de moi et qui sont ceux dont je fait usage... sauront que je fais reference a eux; et je profite pour vous dire ces mots qui proviennent de tout mon etre: "Merci pour tout de positif", je ne dirai pas plus pour le moment...

A bientot!

Babbas!!!

Tuesday, March 28, 2006

Mon journal d’un beau couple !

(en relisant ce texte apres que je l'aie ecrit, j'ai eu l'impression qu'il avait un ton authoritaire, mais ce n'etait pas mes intentions quand je l'ecrivais. Au contraire!... mais je vous presente: ma parole!)


J’ai un besoin de sentir que j’ai un certain pouvoir dans la relation; qu’une grande valeure soit donnes a mes mots et a mes actes, mais une valeur constructive. Car si mes mots et mes actes n’ont pas de vraies valeures aux yeux de ma famille, ca sera bizarre qu’elle en ait aux yeux d’autres. Dans la famille de mes parents, mon pere etait mal vue chez lui tandis que le monde le voyait superbe; je ne veux pas que ca soit ainsi pour moi. C’est important pour moi de me sentir dans une meme equipe que ma femme: qu’il y ait beaucoup de communication, qu’il y ait une collaboration entre nous, qu’on prenne les decisions ensemble, ou si non, qu’on s’entende sur une decision prise par l’un ou l’autre; et que se soit une vrai entente (non pas une qui nous gonfle les vaisseaux sanguins sous leffet de l’orgueuil ou de la colere et surtout pas d’une competition malsaine… car c‘est contre ma personne de voir deux amoureux comme etant deux individus qui font une competiion permanente entre eux… “se youn voye lot monte piwo ke posib, nan yon wote ke youn paka rive poukont li. J’ai besoin que ma femme ait besoin de moi pour vivre l’histoire des reves. En effet on a besoin du partenaire pour vivre l’hisoire du partenaire dont on revait, ou du moins, on a besoin du courage pour continuer a vivre lorsque la vie nous decourage. C’est ma plus grande tristesse de voir que dans mon pays, les dirigeants ne peuvent pas s’entendre pour construire et eduquer le peuple; j’en serais malheureux si je voyais que la meme chose se passait dans ma propre famille dirrigee par ma femme et moi.

Je reve d’une famille pas comme tous les autres; d’une famille qui serait l’expression de la famille parfaite possible, et ma vision de cette perfection se trouve dans un certain equilibre. Et celle que j’appelerai ma femme a la meme vision que moi, ou, a pu apprendre, comprendre jusqu’a avoir cette meme vision que moi, ou du moins a pu m’appprendre, me faire comprendre et me donner sa vision qui (meme en etant differente que la mienne) se lie quelque part a la mienne.

"L’amour, se n’est pas se regarder l’un l’autre, mais c regarder ensemble dans la meme dirrection.
La vie, c un combat, et etre heureux, c gagner ce combat!"

Ma Parole!

Babbas!!!

Tuesday, March 14, 2006

fok nou konn denonse sa ki pa bon, men di sa ki bon tou. Ainsi, Alain, j'avoue que ton discours fait toujours preuve d' bon sens allie a une sagesse qui decrit bien: "la voix de la raison". (Haiti a besoin de toi, et de nous autres dans ce groupe... ne perdons pas nos charismes avant le jour ou il pourra exploser au beau milieu d'un peuple qui cri a son secour) -"L'homme ne fait pas de miracles, mais c bien a travers Moise que Dieu a ecrit ces dix commandement, et a travers Jesus qu'il a gueri l'aveugle"

La seule chose que j'aimerais ajoute pour le moment c'est que:... les debats que nous faisons sur ce forum, meme si vous n'etes pas capable de voir puisque ca ne semble pas etre assez "concret", mais c'est une action que nous posons. Une action comme celle que posais Jean Dominique et autres. Mais la nuance c'est que dans notre petit pays, on commence toujours, mais ne fini pas aussi souvent. Quand c'est pas nous qui oublions on se fait eteindre comme dit Frei. Mais une chose doit etre claire dans nos tetes: "rien ne se cree, tout se transforme". Si nous avons pas de ressource, nous n'en n'aurront jamais si nous ne transformons pas ce qu'on a. Et je dirai une derniere chose, c'est que: un bon ingenieur est celui capable d'utiliser le minimum qu'il a pour pouvoir construire c qu'il veut... car la realite reste: il n'y a jamais assez!

A bientot!

Babbas!!!

Tuesday, February 28, 2006

Proposition (reponse a une question)

desarmer:
-donner des discours convainquand et encourager que les gens vienne remettre leurs armes.-couper la source des munitions-s'assurer que les armes illegaux qui circulent dans les rues puissent etre saisis...-mettre sur place une une enquete a savoir les maisons ou les gens qui ont des armes, et les faire chercher: par des operations millitaire quand c'est necessaire, et par des pressions orales quand c possible... apres une demande a la nation de remettre les armes illegaux a un lieu dedie au desarmement...-avec tous ca, s'assurer une forte presence de la police nationnale et des forces millitaires dans les rues a toute instants, et surtout dans les zones sensibles, et sans neccessairement avoir des "fouilles" comme on c'est l'avoir, mais eduquer les policier a pouvoir poliment arretter une ou deux voiture chaque heures, pour s'assurer qu'ils n'ont pas d'armes illegales.
Je ne suis pas expert en la matiere, mais je pense que les methodes que j'ai propose pourrons ameliorer un peu la situation en ce qui a trait a la circulation dans les rues avec des armes illegaux. mais je suis persuader que des methodes relativement plus efficaces existent.

En plus de tout ca, bien entendu, mettre en place des centres ou des gens peuvent appeller et reporter si la police fait des actes malsaints a des gens dans les rues: ceci, parce que la population a besoin de sentir que le travail se fait pour eux, et pas contre eux. Et je pense que c'est important de donner beaucoup de discours... pas prometteurs, mais plutot des appelles a la nation de collaborer pour construire ensemble: NOTRE PAYS. toutes les semaines: un bilan suivi d'une appelle. Bien entendu, pardonnez moi de croire que parfois, le bilan devrait etre arranger. Ca ne devrais JAMAIS etre un mensonge, mais parfois, pas toute la verite, parce que (je m'excuse, mais ) nous n'avons pas une mentalite positive. Nou dekouraje fasil e sa anpeche yon kontinwite nan travay la. et tout ca devrais etre devoile dans les discours: c'est aussi une facon d'eduquer le peuple qui jusqu'a present n'a pas toujours acces a un siege sur un banc d'ecole.

(reponse a comment resourdre le probleme de langue: francais superieur au creole)
En ce qui a trait aux ecoles:
- ne pas changer le system d'un cou. Les transformations soudaines n'en sont pas de vraies a mon avis: laisser le system comme il est pour le moment, s'assurer qu'il est respecte... mais ajouter des petites choses a l'education dans les ecoles. Organiser des seminaires (sur le creole ou en creole) pour des etudiants que des classes de toutes les ecoles sont obligee d'atteindre. Organiser beaucoup et s'assurer que toutes les ecoles du pays participent a aumoin 1 ou 2, et qu ca soit toute la classe qui participe pas des elus par l'ecole; que ce soit une ecole americaine, une ecole du systeme francais ou Haitien. En plus, avoir des agents qui vont dans les ecoles pour donner des seminaires. Organiser des seances de debats pour les etudiants, ou toutes les ecoles devront participer: des seances de debats en creole ou l'on doit s'assurer qu'il y a une participation de tous ou presque; s'il le faut, des images du gouvernement (president ou misnistres...) pourront etre invite, et c'est aussi une facon de permettre aux etudiants de participer, d'influencer les decisions que le gouvernement aurront a prendre.Et remarquez bien: ces seances de seminaires ne sont pas obliger d'etre organiser par le gouvernement au pouvoir. C'est une innitiative qui peut etre prise par l'opposition (sa participation au developpment du pays) ou par des groupes d'intellectuels qui devront dabord chercher l'accord (meme si pas l'appui) du gouvernement...tout simplement. Ensuite, il y a des emissions en creole etc... il y a beaucoup de facon de resourdre le probleme de langue... il ne reste qu'a avoir des esprits createurs de programmes, et realiser: faire le travail.

Au fait, le probleme de langue n'est pas le fait qu'on parle francais, mais c'est le fait qu'on utilise le francais pour nous faire croire que notre langue n'en n'est pas une et qu'il nous faut le francais pour etre quelqu'un. C'est juste cette idee qu'il faut denoncer et critiquer, et promouvoir le creole, promouvoir notre langue premiere avant les autres. En effet, le creole est la langue qui nous singularise le plus et qui nous permet le mieux a communiquer entre nous tous (je veux parler de MAJORITE car dans une societe, Frei nous devoilait qu'il y en aurra toujours de plus cons que d'autres). Excusez-moi l'expression, mais j'espere qu'il vous permet de mieux comprendre ce que je veux dire. Et, dans une societe, les plus cons dont je parle sont la petite minorite qui ne s'associe pas au peuple et qui pense qu'avec leur education de "sousou" de blanc pense qu'ils sont superieures a leur freres. Rassurer vous, je ne fais reference a personne en particulier: je ne fais pas reference aux "boujoi" haitien. Je veux tout simplement promouvoir l'idee qu'on s'associe, qu'on s'uni aux peuple pour qu'on utilise nos connaissance, non pas pour critiquer nos freres comme si nous n'etions pas Haitiens, mais pour les aider, pour partager avec eux ce que nous avons de +. Et je vous en pris, retirez ces idee non-constructifs de vos tete: j'ai dit "+" mais ca ne veux pas dire superieure, mais plutot "POSITIVES".

A bientot!

Babbas!!!

Friday, February 17, 2006

Pour le moment!

la realite DU MOMENT est que nous ne pouvons pas aller dans une course industrielle avec le monde, mais je pense que ce que nous devons chercher le plus pour le moment est une strategie pour minimiser notre dependance du monde dans nos besoins internes du pays. Je pense que c la que se trouve la "stabilite" dont on parle. Et dans nos conditions, seul une volonte profonde nous permettrait d'y arriver; une volonte qui nous fairait faire des sacrifices enormes.

Il faudrait par exemple que l'industriel haitien voit -servir- avant de voir profit-argent. C'est difficile de demander ca, mais si vous etes Haitiens ce n'est pas trop demander de servir ton pays qui t'a servi de nid. C'est vrai que le monde ne fonctionne pas ainsi, mais je pense qu'en Haiti, il est temps de faire une nouvlle revolution;(en 1804, les societes noires n'avaient pas de republiques). Une fois dans notre histoire, c le monde qui nous suivait et pas l'inverse. Sans etre le plus grand pays, je pense que nous pouvons nous affirmer avec notre propre mode, et c'est possible. Pour cela, il va falloir que chacun de nous decidons de travailler pour le pays, et quoi qu'il arrive, nous ne devons jamais cesser de promouvoir cette idee. Encourager, eduquer et travailler avec espoir devrait etre notre devise.

Remarquez bien que je n'ai pas dit travailler pour l'etat haitien, j'ai dit travailler pour Haiti. Notre etat est corrompu (dans le moment) mais nous ne devons pas laisser tout le pays l'etre. Nous faisons parti du pays, donc nous ne devons pas l'etre. Nous n'aurrons pas toujours des garantis, mais nous devons prendre des risques parce que sans eux, nous ne saurrions jamais de quoi on etait capable.

Eduquer: nous devons promouvoir les lecons civiques et morale dans les ecoles, dans les medias, dans les pancartes de rues...

Encourager: nous devons faire eloge de tout ce qui est positif pour le pays (petites choses ou grandes choses) et nous devons aussi essayer de donner ou de faire apparaitre les moyens de contribuer d'une maniere ou d'une autre a quelque chose de positif pour le pays. (par example, si une industrie de transformation alimentaire ne fait pas de profits pour donner acces a bon marche a un produit alimntaire de qualite, et si tu es le proprietaire d'une chaine de television, permet a cette compagnie de faire du marketing a bon marche sur ton canal...)

Travailler: nous devons cesser de trop parler, et agir de maniere plus efficace. Si une ville a besoin d'etre renove, et qu'on a les moyen de le faire, le faire. Si il n'y a pas moyen de le faire, encourager d'autres gens a le faire; donner son support, meme si c'est un support moral simplement. (Nous n'avons rien, donc nous avons besoin de tout)

L'espoir: l'espoir fait vivre, donc en attendant de vivre de joie, vivons d'espoir tout en travaillant, encourageant, et eduquant les jeune a realiser les choses les plus necessaire, les choses les plus grand.
Il nous faut des discours plus optimistes; et faisant usage d'une diplomatie progressite, nous devons gerer les autres, les utiliser, mais au fait, nous n'avons besoin que de nous.


Mon reve pour ce pays, ce n'est pas d'etre le pays le plus riche du monde, mais d'etre le pays paradis; le pays ou il y a la bonne vie: les gens sont aimable, ils ne souffrent pas de malnutrition, ils travaillent beaucoup, mais le fruit de leur effort est une certaine satisfaction, une certaine fierte, et enfin, le pays est beau!

(Par ou commencer??? -Par passer l'eponge!!! en anglais on dit: get use to it, get over it)

Wednesday, February 15, 2006

A mes ami(e)s du forum "pansons et repensons Haiti", et aux autres qui veulent lire


"Et si nous passions l'eponge" est la proposition la plus constructive que j'ai pu lire sur ce forum jusqu'a present; et je dirai pourquoi.

Certains des textes que j'ai lu ici m'ont fait imaginer que l'idee de "democratie" etait bien interprete, mais pas parfaitement bien comprise.

-Inspirer par l'un des textes de Chrystele, j'aimerais attirer votre attention sur le fait qu'un "PROCESSUS democratique" n'est pas concentre autour de manifestation post-electoraux. C'est vrai que les elections sont une manifestation directe (peut-etre la plus dirrecte) de la "democratie", mais ce n’est pas que ca; et je pense que se serait une mauvaise strategie de donner tout son espoir a UNE election, aussi majeure qu'elle puisse etre. En effet, se serait triste de perdre les future tetes pensantes du pays a cause d’un incident previsible, meme aussi penible. Car sans votre espoir, ce qui sortiront de vos tetes risqueront de faire la reaction inverse: detruire aulieu de construire. Sur cette note, nous devrions jamais, et je dis JAMAIS…. perdre l’espoir…!!! …d’autre en plus que ce n’est pas fini.
(j’encourage l’analyse de la situation politique, economique, et sociale actuelle d’Haiti, mais je vous prie de ne pas laisser les problemes vous ecraser de la ou vous etes. Ne soyons pas des Haitiens et Haitiennes epuise(e)s et frustre(e)s, car notre peuple a deja assez de schizophrénie. Tant que nous n’arrivons pas a la reussite satisfesante, esperons et revons, car si non, nous ne fairons que vivre le reve d’un autre, etranger!)
(certains demandrons: ou trouver l’espoir dans de telles conditions? mais des sources d’espoirs….. il y en a….. ne les ignorons pas,…. Et si tu ne veux pas trop puiser et que tu n’en trouve pas, contente toi d’etre le brilliant:-haitien-, sachant que tu n’es pas le seul. Comme d’autres honorables freres et soeurs l’ont fait, il y a toujours moyen de briller; et, arrive(e) aux yeux du monde, affirmer sa nationnalite… je pense a Wyclef, a Michaelle Jean et autres … après tout, “haitiens haitiennes, c nous qui faisons Haiti”) (Haiti nous porte, mais nous le portons aussi)

Apres cette note d’espoir dediee a ceux qui le perdent, j’aimerais vous faire remarquer aussi que nous n’arriverons pas a la “democratie” dont on parle sans un niveau de tolerance; et dans notre cas, un niveau de tolerance exagerer. En effet, nous ne pourrons pas tous changer. Toutefois, nous pourrons compenser beaucoup par des reactions constructifs comme combattre le chomage... Et,( peut-etre parce que je suis en genie chimique, mais) quand je vois “reaction” je vois consomation. C’est a dire que, peut-etre, en donnant du travail aux gens de cite soley (ce n’est qu’un example), on les donne moin de temps pour kidnapper, et le phenomen de kidnapping ralentirait, et peut-etre ira jusqu’a disparraitre. C’est en ce sens que “passer l’eponge” me semble etre UNE solution interressante. Sans etre la seule solution qui m’inspire confience, je pense que tacler le probleme a plusieurs niveau l’aidera a se resourdre plus rapidement et avec moins de risques. J’ai d’ailleurs lu plus qu’une chose, je cite:” les incorrigibles doivent etre arretes mais avant tout il faudra qu'une chance de changer leur soit donnee”.

Zanmi mwen, Baudelaire te gen rezon le li di tan se yon ranyon; men banm jere’l pou’l pa depase’m. Donk m’ap kanpe la pou’m ka al kontinye akeri konesans pou’m pot bay lakay.

A bientot mes cher(e)s ami(e)s: je vous aime!

Babbas!!!

Et si nous passions l'eponge (un texte d'Alain Melenas)

(Ce texte a ete ecrit par un jeune universitaire Haitien)

Je sais que beaucoup ont souffert de l'insecurite,et j'en profite pour rendre un hommage a tous ceux qui sont tombes sous les balles des malfaiteurs et de l'insecurite sociale. Men ann kle. Pensez vous que les vrais coupables seront arretes un jour, je n'y crois pas. Je pense qu'il faudra qu'il faudra apprendre a passer l'eponge pour remettre Haiti sur pieds. Je ne vous demande pas d'oublier d'ailleurs nous ne pourrons jamais oublier, mais nous pouvons mettre la veangeance de cote et essayer d'aller vers l'avant.

Si nous envoyons des policiers a cite soley pour arreter les coupables,nous devrions arreter la grande majorite de cite Soley. Ainsi nous ne ferions qu'agraver le probleme et accentuer le probleme "boujwa malere".Certains croirons qu'il ne sagit que d'un complot pour les exterminer. Regardez un peu ce que les rwandais ont fait apres le genocide,ils ont essayer de passer l'eponge sur une periode qu'ils ne pouront jamais effacer.Les tetes pensantes ont ete arretees et les victimes ont compris que seul le pardon pourra remettre le pays sur pied.Ce qui est fait est fait mais nous allons faire en sorte que cela ne se reproduise plus. De meme qu'en Haiti, les incorrigibles doivent etre arretes mais avant tout il faudra qu'une chance de changer leur soit donnee. Creons du Travail,essayons de les integrer ensuite nous pourons arreter ceux qui appartiennent aux prisons.

Lorsque Aristide est venue avec son discours neo-raciste et de segregation sociale, les bases etaient presentes pour qu'il soit pris au serieux. Il existait deja un grand fosse entre les riches et les pauvres,et il n'xistait pas de discussion entre les differentes couches de la societe. Les riches en Haiti sont aux pauvres ce que les extraterrestes sont aux hommes ,c'est a dire ils ne savent quasiment rien d'eux et vice versa,d'ou la facilite qu'a eu Aristide a les devier.

Il faudrait remettre ces exclus en confiance,leur faire comprendre qu'aussi riche que nous pourrions etre, nous ne sommes rien sans eux. Haiti pa Petion Ville et c'est justement ce que l'insecurite grandissante essaie de nous dire. Pensez vous que si les gens de cite soley avaient un travail,qu'ils auraient la volonte d'ecouter les demagogues. Si le gars de Bel-air avait des relations avec des gens de Fermathe,pensez vous qu'ils croraient nimporte quoi.

Pour tout dire, resumer le probleme d'Haiti a cite soley ou a la pauvrete serait bacler le probleme. Il faudrait creer des espaces ou tous pourrions apprendre a se connaitre et ainsi creer le lien fondamental de toute nation :la fraternite.

Alain Melenas

Wednesday, January 18, 2006

Oui nou la!

Mesye dam, menm si nou pa wè nou pa tande, men nou la. Gras grandon yo ak fos kouraj nou, n'ap kenbe pi rèd. Travay la long, travay la di, men li koumanse donk l'ap fini.
Alèkile, tan ap pase, men li pape gaspiye. Nou okipe men n'ap proche. Se proche nape proche!

Je vous aimes et vous m'aimez aussi!

A bientot!

Babbas!!!

Tuesday, November 29, 2005

Le Racisme!

C’est une triste nouvelle à savoir que partout, une anomalie qui ronge « la société » ne cesse de s’exprimer à travers un si bon « outil social » qu’est « la communication ». Je me demande comment promouvoir la paix dans le monde si on laisse glisser du racisme sous nos langues. Bob Marley nous dévoilait dans ses musiques que l’aspect d’inégalité dans une société était une porte à la violence ; et plein d’autres philosophes, prophètes, leaders le disaient aussi. Nous ne devons pas inventer des inégalités entre nous, mais au contraire, il faut qu’on les fasse taire. Par conséquent, le racisme est une hémorragie qu’il faut stopper !!!

Pour combattre ce virus de race, il faut le dénoncer peut-être, mais il faut surtout faire l’effort de l’éliminer en sois. Pour cela, il faut commencer par prendre conscience que ça n’existe pas seulement chez le raciste, mais il est provoqué aussi à celui qui le subi. En effet, j'ai reçu un e-mail qui circule, -sois disant- contre; ça parle de l’expression « homme de couleur » ; Ca veut dénoncer l’expression raciste pour ensuite l’utilisé contre son auteur. Mais je vous fais remarquer : si son auteur est raciste, ne l’est-il pas lui aussi qui l’utilise en retour ? Ou si non, ne l’est-il pas devenu en en faisant usage ? Il faut bien qu’on fasse attention parce que nous ne voulons surtout pas disperser ce marasme. Nous voulons, tout au contraire, le réduire et s’approcher d'une élimination complète.

Face à une telle situation (comme celle de l’exemple sur « l’homme de couleur »), se serait peut-être mieux de dénoncer l’expression en le démystifiant et en regrettant qu’il ait pu même être considéré comme tel. Comprenez bien que subir le racisme sans devenir raciste n’est pas une soumission ; c plutôt COMBATTRE ; c se battre contre ce monstre des sociétés modernes.

Apres tout, si aujourd'hui j'évoque le racisme dans mon texte, c’est une façon pour moi de le debattre; une autre facon de le combattre. J'aurais aimer que cet outil qu'est la communication soit utilisé non pas pour laisser se blaisser nos sociétés modernes, mais plutot pour les protéger contre ces virus ideologiques. Faisons usages de la communication afin de gérer notre énergie pour pouvoir mieux l'investir dans l'amour: dans la vie.

Le Racisme Est Une Hémorragie Qu’Il Faut Stopper !!!

A bientôt !

Babbas !!!

Tuesday, November 22, 2005

Un Article sur le Creole

Le texte que je vais partager avec vous est une courtoisie de "Biscayne Boulevard times", un journal publié tous les mois a Miami en Floride. Ecris par une jeune Haitienne, etudiante en langue (Vanessa Armand), je l'ai trouvé interressant, et j'ai voulu le partager avec vous.

*Je vous signale que je ne suis pas l'auteur de ce texte.
C un texte de Vanessa Armand qu'on peut trouver sur www.biscayneboulevard.com

A bientot!

Babbas!!!

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November 2005: Kréyol: The Buried Language, Now Emerged Posted by: bbtnews on Tuesday, November 01, 2005 - 12:00 AM


By Vanessa ArmandBBT Contributing WriterAt CreoleTrans, a Haitian Creole translation service located at 375 N.E. 54th Street in Miami, Faidherbe Boyer, or Fedo, works with the language daily as his tool for business.

Their seventh year in business, CreoleTrans usually works on small projects, providing quality translations to its clients. Recently, CreoleTrans has been working in association with Dave Lawrence, president of the Early Childhood Foundation in Miami to create Haitian Creole materials for young Haitian students. CreoleTrans has just completed the translation of series of books for children printed by the Hutton Mithlin Company.

“Chen gen kat pyé men li pakab maché nan kat chemen” is Boyer’s favorite Haitian proverb. Translation: “Dogs have four legs but they can’t walk in four paths.” This proverb is an example of how complex and meaningful, but beautiful, Haitian Creole is. It is an incredibly important aspect of the Haitian culture, and plays a role in Haiti’s past, present and future by reflecting the country’s history and development through time, from slavery to independence to 2005.

Haitian Creole is a language that developed out of slavery. The contact of West African tongues with European languages, predominantly French, forms the roots of Haitian Creole. Because of its connection with slavery, “Kreyol se yon lang stigmatizé,” Creole is a language that carries a stigma, according to Jean Robert Cadely, who is a professor in the Modern Languages Department at Florida International University. Upon learning that I speak Haitian Creole as well, Cadely insisted on speaking to me in his native language.

Although Haitians have been speaking Creole since before independence in 1804, it is only in 1979 that a law permitted it to be a language of instruction. The Constitution of 1983 declared both French and Creole as the country’s national languages but specified that French would be the official language. However, it was in 1987 that the Constitution granted Creole to be an official language to Haiti.

Boyer and Cadely both agree that Haitian Creole was not a language taught to them in school. On the contrary, they grew up speaking Haitian Creole outside of school because French was the dominant and accepted language in school. The French language holds the prestige and socio-economic weight that their parents wanted them to have. As teenagers, Boyer and Cadely each had individual influences that changed their perspective of the Haitian Creole language and made them realize the beauty in it, although they were taught the contrary.

Attending a bilingual high school in New York, Boyer heard Haitian Creole poetry and became interested in learning more about reading and writing Haitian Creole, since the language has usually been an oral tradition rather than a written language. In Haiti, Cadely was a staff member of a newspaper during the Francois Duvalier dictatorship in the 1970’s. As a rebellious act, the students decided to begin printing the newspaper in Haitian Creole instead of the conventional French. From then on, Cadely became interested in Haitian Creole and now teaches it at FIU.

It is only recently that schools have decided to include Haitian Creole in their curriculum. Their delay in doing so creates a problem for students to learn effectively in school. “Instruction is a prolongation of education, but in Haiti, it’s like home education and school education are fighting,” explains Cadely. Creole is the informal, everyday language, while French is used in formal situations: schools, newspapers, the law, official documents, etc. “Even now sometimes you go to a bank and you address someone in Creole and they look at you like ‘What do you mean? Are you assuming that I can’t speak French?’” says Boyer.

The process has been extremely slow, but attitudes toward French and Creole are changing. French still serves as an indicator of higher social class, while Creole is viewed as the language of the poor masses. 100 percent of Haitians use Creole as a means of expression, but there has been a mystique built around French by those who speak it in order to perpetuate the myth that Creole is a non-language without grammar. This is one reason why many Haitian refugees prefer to say that they do speak French, even if they don’t, not knowing that Spanish would be a more helpful language to them in Miami.

In Miami, wherever Haitians are, Creole is. On the Haitian Television Network, the radio, and in the streets of Little Haiti especially, Haitian Creole is the primary language to be heard. “The society functions in Creole,” says Boyer, “It’s our language.” Creole is the means of expression and communication among Haitians in Miami. It is the factor of identification as a Haitian. Before the “griyo” and “bannann pezé,” fried pork and flattened green plantains, Creole is the introduction to the Haitian culture to a foreigner. It is the unifying element for all Haitians around the world.

Via immigration, hundreds of thousands of Haitian Creole speakers live in other countries like Canada, France, Dominican Republic, and the Bahamas, as well as many other Caribbean nations. Haitian Creole’s usage in literature is small but growing. Educators, writers, and activists have emphasized the pride and written literacy in Creole, making the advancement and development of the language expand and grow. Haitian artists and scholars like Franck Etienne, Pradel Pompilus, and Yves Dejean prove that “Gason pa poté kanson pou bèl twèl,” Men do not wear pants to show off nice fabric. They have been the movers and shakers who have helped in slowly changing the negative perception of Haitian Creole and exposing the importance and beauty of the language. BBT

Wednesday, November 16, 2005

Yon bouyi vide plen lide

Jodi ya, gen yon ti bagay ki monte nan tèt mwen ki ban'm yon sèl anvi ekri nou nan bèl lang saa ki se lang peyi'm. Se domaj ke mwen pat gen chans etidye kreyòl. Mwen pa konn sa'm ta bay pou sa ta rive, men mwen kwè: chak bagay gen tan pa yo. Nan bon kreyòl m'ap di: se pou lannwit la pase pou solèy la ka leve.

Nan moso tan m'ap viv la, pi gwo envestisman mwen, pi gwo sa m'ap simen, se ti zafè lekol mwen pou'm sa gen yon demen ki bon. Epi tou, kòm nou paka viv san kòb nan tan alèkile, mwen oblije pase rès tan mwen nan travay, nan fè ti biznis, ti komès pou'm sa manje ak pou'm pa domi deyò. Lè'm wetire tan lekol ak tan travay, ti tan ki rete ya se tan domi.

Sa pa vle di pou'm pa pran ti plezi'm non. Lè'm te jèn [:)], mwen te gen yon patnè'm (ki kanada kounye ya) ki te konn di: li pap dako lè'l granmoun pou'l regrèt jenès li. Mwen pran konsèy li, e mwen konseye tout jèn yo ansanm ak tout moun pou yo fòje tan pou yo pran ti plezi yo kòm-il-fo. Youn nan aspè kiltirèl nou antan ke antiyè se ke, nou renmen ti plezi nou, nou renmen ti kanaval nou rèd. E mwen pa dekouraje sa ditou paske mwen temwen nan Miyami jan kanaval fè tout karayibeyen reyini. Kote m'ap ekri nou laa, kou demen swa rive, kòm mwen pa gen lekol jedi-sidyeve, mwen pral nan yon ti program yo rele "Jouvert".

"Jouvert" se yon ti aktivite ki louvri kanaval nan peyi Trinidad. Se yon ti pwogram kote mizik kanaval ap tonbe (soca trinidadyen), moun ap danse san limit, boutèy tafya ap pèdi lavi yo, epi lagè penti ap fèt; fi kou gason ap voye penti tout koulè youn sou lòt, san pèsòn pa fache, pèsòn pa goumen paske se fèt lanmou, fèt la jwa la gete, fèt koulè... se ason ki pou rele jou kanaval yo. Moun ki renmen kanaval ap renmen Jouvert; Pou de lòt moun, Jouvert ka parèt konkou yon bagay ki pa sen. Men se yon aktivite kiltirèl ki bay moun opotinite defoule yo san limit.

Mwen pa konn si nou remake ke mwen di "defoule".

Pou nou pa regrèt jenès nou lè nou granmoun, pran ti plezi nou kòm-il-fo. Fè ti dezòd nou, ti eksperyans nou... pou nou ka grandi; Fè sa'n gen pou'n fè pou se pa anvi ki domine lavi nou. Fè sa'n anvi fè, e pa anvi fè sa'n paka fè ak sa pou'n pa fè.

Pou nou pa regrèt jenès nou lè nou granmoun, fòje tan pou nou pran plezi nou, men detèmine tan pou nou travay ak pou nou fè sa'n gen pou'n fè. Pa domi pou pran plezi si ou vle, men LEVE pou regle sa'w gen pou regle!!! LEVE pou al travay!!! LEVE pou ou ka prepare satisfaksyon demen ou.

Pou nou pa regrèt jenès nou lè nou granmoun, pa kite tanw pase san ou pa simen anyen ki pou leve demen; paske se nan pa ret nan solèy ke ou pap boule, se vre, men fòk ou plante grenn nan kanmenm pou pyebwaa ka pouse, paske satisfaksyon wan, se nan bwaa li ye! Nan yon lot langaj, sa vle di: pran plezi'w pou'w defoulew (pou tet ou pa gwo), men fè sa pou ou fè (travay, al lekol) pou'w ka la demen. Paske sa franse ya rele "la joie" aaa, se nan plezi ya'l ye, men sa yo rele "le bonheure" la, se satisfaksyon wan, se nan rannman travay ou ke'l chita. Si ou pa travay pou ou prepare yon avni, pi douvan, li gendwa twò ta, epi lè'w granmoun, wap wè ke se gaspiye ke ou gaspiye ti tan jenès ou epi menm ti plezi yo a vinn parèt konkou yon gaspiyaj. Kifè mezanmi, pran ti plezi nou tèt nèg, men travay pou avni'w, travay pou peyi'w, travay pou moun ki kwe nan ou, epi travay pou LIBETE'w!

Se nan dènye ti fraz saa ke ti mesaj mwen gen pou nou jodi ya chita; epi mesye dam, se Kreyòl la ki pèmèt mwen banou'l. Kreyòl la se lang peyi nou, se lang tout frè ak sè nou yo ka pale; e tanpri souple, ann sispann di kreyòl la pa yon lang, paske si se pou sa, ayisyen pa pale okenn lang vre??? Ayisyen pa konkou tout lòt moun??? E si se ayisyen ou ye, ou pa konkon tout lot moun???

Ayiti kounye ya, se pa tout moun ki konprann franse, men tout ayisyen ka kominike ak Kreyòl la. Gendwa se franse ki lang ofisyèl kounye ya, ki lang biwo, men Ayiti se premye pèp nwa endepandan; nou fyè de sa, nou fyè de peyi nou, nou fyè de kilti nou, e nou fyè de lang nou tou, kifè, nou pa oblije kouvri'l. Men pito, ann voye'l monte, ann pran swen'l, ann fonde yon Akademi Kreyòl pou moun sispann jis jounen jodi ya ranse ak lang sa ki se lang pa nou.
Nan jwèt lago deli gwo peyi yo ap jwe nan mond lan, nèg yo kenbe enpe nan tifrè nou ki chita nan karayib la. Nou menm, nou fè 200 zan ap kache olye pou nou kontinye kouri pou yo paka kenbe nou. Fòk nou kontinye kouri pou'n ka bay enpe deli menmjan ak nan tan longtan.

-Pou sak pa konprann yo, sa'm vle di se ke: nou menm ayisyen nou tap travay pou nou pouse pou pi devan: nou pran endepandans nou epi ,dèyè nou, ti frè nou yo nan karayib la swiv nou paske se pa sèl noumenm ki te okipe; menmjan, se pa sèl noumenm ki pale kreyòl. Yon akademi kreyòl se tap yon lot pa an avan pou ti peyi nou wan.

Mwen pat gen chans etidye kreyol, men m'espere m'a ka ofri pitit mwen etidye bèl lang saa ki gen pwòp pèspektiv pa'l.

Kreyol la, se-pa-pou-di'w yon lang nou fèt ak li; san'n pa menm aprann li, kreyòl pale kreyòl konprann. Ou ta di kreyòl la se l'espri Ayiti ki chita nan tèt tout ayisyen. Se konkou se yon lwa ki monte moun kap pale'l la; lwa a ranmase lide moun lan, epi tou l'al monte moun kap koute'l la pou'l sa depoze'l nan tèt li... epi sak pap koute'l yo we yon pakèt imaj (des metaphores)...

.........

Pou klarifye opinyon mwen, m'ap ajoute ke mwen pa dekouraje etid lang franse ya nan peyi nou a, paske se yon pon li ye pou nou pou'n antre nan kominote entènasyonal la san pwobèm. Men ala bèl sa ta bèl si Ayiti Endependan te premye peyi Kreyol (koukou Angletè ak angle ouswa Espayn ak panyòl...). yon kote kreyol kote tout moun pale franse pou 2eme lang ak angle pou 3em...

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sou nòt saa, map di nou: Ann kenbe sengilarite nou, epi tou ann reve pou yon demen k'ap gwo anpil pou ti bout tè nou an. Konsa, travay nou ap mennen nou pi pre MA bondje kite pou nou an.

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A bientot!

Babbas!!!

Wednesday, November 02, 2005

Wilma, Un Cyclone, Une Experience Parmi d'Autres

Le vent souffle avec rage.

De ma fenêtre étant, je regarde un gras-de-ciel. Les vitres sont brisés, les portes sont arrachés. Tout l’immeuble est bouleversé. Je vois des meubles tomber par la fenêtre détruite juste en face de moi, -tandis que la mienne, déjà craquée depuis bien longtemps, tient toujours. Tout autour, les arbres sont déracinés ; c’est un désastre.

De ma fenêtre étant, je prends l’odeur du brulé. C’est la maison d’à coté.

D’ici étant, j’entends le monde crier à travers les feuillages : « Wouyyyy !!! » C’est le vent qui apporte la parole d’un monde en crise à travers l’espace. Je l’écoute dans ma langue : je l’entends en Créole. (–« Wouyyy » est un terme qui exprime une certaine souffrance : c’est un crie de douleur.)

Dans ma petite maison, il fait sombre. Je cherche une lumière, mais je n’en trouve pas. Je touche mon thorax, et sent mon cœur battre très fort. Est-ce l’effet de la peur ? Ou, est-ce tout simplement l’effet d’une transformation en moi ? Créer par le changement d’air (allant de: nourri par un climatiseur, à: un air "naturel"), il aboutirait à une meilleure distribution de l’oxygène dans mes organes.

En dernier lieu, étant dans ce petit endroit qui m’héberge, le dernier sens qui me permettait de me réjouir commence à disparaitre. Ne m’étant pas assez préparé, ma nourriture n’est pas suffisante ; j’arrive à peine à prendre le gout de la vie.

Entre temps, une équipe d’aide arrive avec de l’eau, de la glace et des flaches. J’ai besoin de leurs flaches pour ne pas me casser les dents dans le noir ; leur eau me facilitera de survivre pour le moment, et leur glace me permettra de conserver le peu de nourriture qui me reste. Toutefois, ne sachant pas ce que je vie, ils ne pourront pas être mes héros. Ce qu’ils m’apportent ne satisferont pas tous mes sens. Par conséquent, je ne peux pas mettre tout mon espoir sur eux.

En effet, je n’oublierai jamais l’histoire du Wanda. Mais je n’oublierai pas non plus l’histoire des Etats-Unis à savoir le témoignage qu’ils nous ont offert sur le potentiel de puissance qui provient de la « diplomatie ». En Creole on dirrait: " lè sot bay, se enbesil ki pa pran" men "nan foure men pran, fo'w fe atansyon pou'w pa pran nan pèlen"

...

Mon Cœur bat fort, mais ca me rappelle le Tam-tam des rassemblements. Ca me rappelle les vibrations d’un « manman tambou » qui s’appelait « Selide ! » ; des vibrations magiques faisant appellent aux esprits intelligents, aux esprits courageux : a tous les esprits protecteurs d’une certaine Haïti !

Wilma était un cyclone dévastateur, mais l’expérience dont je vous parle n’est qu’une expérience parmi d’autres.

A bientôt !

Babbas !!!

Sunday, October 16, 2005

Bon dimanche!

Aujourd'hui est dimanche. Le vent souffle avec tout sorte d'air vers des horizons diverses. L'amour, l'espoir, la joie, le desespoir, la souffrance, la misere, et le bonheure visitent le coeur de gens indulgents a travers le monde; un monde en crise, mais où il est impossible de faire disparaitre l'energie.

-En faisant usage de ce dernier terme, je me refere a cette magie qui tient cette planete: a cette force que possedait nos leader (que ce soit en inde, en afrique, ou dans les antilles): a ce dieu qui habite tous les heros de ce globe.

Remarquons cependant que, parmi ceux que j'ai cité dans mon premier paragraphe, desespoir, souffrance, et misere ne viennent qu'obstruer le processus de vie meilleure: d'un monde meilleure. (en d'autres termes je dirais: "ameliorations de nos conditions de vie" comme dans "Intro"). Nous devons donc, pour commencer un nouveau mode, concentrer notre effort sur: ne pas etre miserable, combattre la souffrance, et garder l'espoir.

Toutefois, ne nous laissons pas secouer par le mouvement du temps; quand on avait pas le pouvoir de changer les choses, Gandhi nous enseignait: la tolerence. Cet homme honorable nous a devoilé:

-Si tu veux changer le monde, change toi toi-meme

... et dans un autre contexte lié au precedent, il disait:

-Notre recompense se trouve dans l'effort, pas dans la reussite, un effort total est une reussite

...

Mes cheres amis, le dimanche est consideré comme etant un commencement à une semaine. Et certains veulent croire que cette semaine a mal commencé; mais c'est encore une citation de Gandhi quand je dis:"Une erreur ne devient pas verite du seul fait que tout le monde y croit". Sur cette note, je vous dis cheres compatriote: gardez espoir!
Et a tous, je vous shouaite: Bon dimanche!

A bientot!

Babbas!!!

Friday, October 07, 2005

Haitiens Haitiennes, c'est nous qui faisons Haiti!

Souvent, on rencontre des gens qui ont une conception plutôt atroce d'Haïti. Pour eux, Haïti est une pure illustration de la pauvreté, du malheur, et du dégout. "Les Haïtiens n'ont pas de manières ni de honte" disent d'autres fils et filles de l'Afrique comme nous autres. Mais comment comprendre cela tandis que moins d'un demi-siècle n'est passé depuis que tout le contraire s'exprimait?

Avant, quand on parlait d'Haïtiens dans les pays étrangers, on parlait de noirs éduqués, de gens aimables, de gens qui avaient le sens du service, du partage, et de l'effort.
(Certes, hérités de notre passé; -peut-être de l'esclavage ou plutôt directement de l'esprit de l'Afrique-) toutefois, n'étaient-ce pas des qualités qu'on avait?

Que ce soit le médecin, la servante, le chauffeur de taxis, ou l'infirmière..., l'Haïtien était celui qui refusait de ne pas être à la hauteur de son boulot. Nous étions ceux qui avaient des valeurs morales, et qui avaient des rêves dont on ferait un effort surhumain pour les réaliser.

Aujourd'hui, le jeune Haïtien hors de chez lui se recherche autour de lui, mais ne se retrouve pas. On se recherche dans Wyclef Jean; on se recherche dans une petite zone défavorisée de Miami; on se recherche dans le KOMPA, et l'on n'arrive pas à se retrouver. Mais au faite, ce qu'on oublie, c'est que l'Haïtien qu'on recherche n'est pas autour de nous, mais plutôt en nous. Décrit dans les textes de Maurice Sixto et rêvé par Jean Dominique, l'Haïtien est dans l'Haïti que nous portons avec nous dans nos cœurs, et c'est à nous de l'exposer au monde.

Mes chers compatriotes, ne soyons pas ceux qui contribuent à salir l'image ne notre "lakou". Gardons la tête haute. Et si nous perdons des vies, au moins, ne perdons pas nos valeurs et nos qualités; ne perdons pas notre identité. "Lakay se Lakay, e lakou lot moun pap janm ka lakay".

Nous ne pouvons pas forcer l'autre voisin de nous aimer. Et ne nous imposons surtout pas aux autres par l'hostilité, car ca ne ferait que détruire notre image encore plus. Mais plutôt, aimons-nous les uns les autres sans faire d'exclusions, et nous pourrons enfin définir notre existence!

Mes chers ami(e)s, je veux m'adresser à vous, Haïtiens et Haïtiennes, qui êtes ou qui allez dans d'autres pays. Ne baissez jamais les bras car vous êtes Haïtiens. Ne soyez pas hostile car vous êtes Haïtiens. Soyez aimables car vous êtes Haïtiens. Portez vous bien car vous êtes Haïtiens. Rendez service, partagez, et ne cessez pas de faire des efforts constants pour s'améliorer, car vous êtes Haïtiens. Réfléchissez et sachez ce que vous voulez car vous êtes Haïtiens. Vous ne voulez pas être comme de pauvres errants qui subissent un système étranger, car vous n'êtes pas sans histoire, vous n'êtes pas des intrus dans le monde; vous faites parti d'une société, vous avez une place et un rôle à jouer: vous avez une identité: vous êtes Haïtiens.

Mes chers amis, le temps me fait défaut. Je ne veux pas vous épuiser les yeux car vous lisez; et en plus, j'ai du travail a faire, car je suis Haïtien!

A bientôt!

Babbas!!!

Tuesday, October 04, 2005

Intro

Nous vivons dans une epoque ou l'on ne dois plus laisser place a des betises de toutes sortes: que se soit: actions terroristes, mauvaise gestion d'un pouvoir, ou encore, manque d'implication de notre part dans l'amelioration de nos condition de vie dans ce monde: (dans notre pays!) Il faut que nous tous qui aimons Haiti -par example- agissons en sa faveur. Concretisons nos reves en commencant par les exprimer dans la realite. Martin Gray disait dans son livre "Vivre Debout" qu'une pensee ne vallait pas grand chose sans action, mais que meme parler ou ecrire est action.

En effet, parfois nous ignorons la difference que ca pourrait faire si seulement on disait quelque chose. Souvent, on evite de parler parce qu'on a peur; on a peur de ce que penseront les autres; on a peur des concequences dirrectes et indirrectes de nos mots. Mais, dans quelle epoque serions nous si l'on devait avoir peur de parler ou d'exprimer une opinion ou une envie? Quelle serrait alors la difference avec la dictature ecrasante??? -La croix gammee? Le baton? les chimeres???... je crains que non.

Nous nous sommes battu contre des dictateurs; je pense qu'il est temps de se battre contre la dictature. Liberons nous des limitations de craintes. Et sans rendre imparfais l'idee de liberte, faisons jaillir la beaute qui existe en elle!

L'homme est un etre social. Je dis donc que notre liberte se trouve dans la communication et dans le partage!

Nos heros nous ont procurer une liberte; Il est temps de rentrer en action pour en faire bon usage!

Mes ami(e)s, je veux vous communiquer et partager avec vous lecteurs: Ma Parole!

A bientot!

Babbas!!!